J'ai écrit un poème, il s'appelle Sauve-moi, je l'ai mis aux yeux de tous [sur l'autre blog], Elle en a même pleuré, enfin, encore une fois et moi...

J'attends, comme elle le dit. Au fond, un petit cri, deux mots, tout simple, si banal mais déchirant dans le silence.

Sauve-moi.

Je ne sais pas pourquoi, juste cette envie d'être sauvé, par Elle, par d'autre. J'ai peur, peur de perdre un bout d'Aile, peur de perdre quelque plume moi aussi, car il sera là, celui qui incarne le Grand Frère à mes yeux, peur de ne savoir que faire de cette imagination quand il sera devenu réel.
J'ai peur de la revoir aussi, parce que la dernière fois il s'est passé si peu de choses et qu'entre temps il s'en est trop passé et quand on se verra il ne se passera rien. Puis j'ai relu notre conversation du jour où le Cirque a ouvert ses portes.

J'aimerai ressentir quelque chose de fort.

Sauve-moi